Concept Damoclès:
Aux premières vues de la Yamaha MT01, j’ai trouvé une magnifique machine aux courbes généreuses. Un moteur fort sympathique et des avancées technologiques relativement avant-gardistes. Après réflexion, j’estimais qu’une concurrente ne pouvait se faire la part belle qu’en comblant un manque de sportivité très relatif. Aussi j’ai misé sur ce point, pariant sur une machine au caractère dynamique hors du commun avec un design revendicatif des 147 CV de la bête.
Big-Bang:
C’est un peu ce que j’entrevois sur la conception de ce moteur. En un mot, un « percuteur » fantasque délivrant 21,3 m/kg de couple à 3300 trs/mn. Techniquement cela semble accessible, grâce à sa cylindrée généreuse, mais cela promet de malmener le pilote avec une nonchalance peu commune. Son roulement de tonnerre mécanique ne s’estompe qu’à 6800 trs avant que le rupteur ne vienne tel un couperet, clore la valse hystérique. Là dessus , on aurait pu compter sur un amortisseur de direction pour assurer un train assez volage, mais ce serait selon moi une petite marque d’aseptisation, où sur ce modèle, seule la sensation prime même au prix de quelques sueurs froides. Les pistons à longue course (110 mm) permettent de concevoir ce couple faramineux et pour pouvoir tenir le coup à hauts régimes, la Damocles se voit équipée de pistons forgés ainsi qu’un traitement antifrictions de type nickel, phosphore et silicone. La vitesse de piston tutoyant celle d’un R6 avec près de 25 m/sc. à 6800 trs, inutile de dire que l’on ne peut se passer d’une huile 100% synthèse.
Particularités:
Pour le coté innovation, j’ai trouvé l’amortisseur arrière latérale de la MT01 très ingénieux. Il vient en effet équilibrer l’esthétisme de la machine, répliquant à une ligne d’échappement très présente sur le flanc droit. Son accessibilité devient également évidente, ce qui réjouira le néophyte du réglage tout comme le maniaque de la propreté. C’est pourquoi j’ai scrupuleusement récupéré ce système pour la Damocles, le considérant comme le plus adapté.
La petite note innovatrice, vient sur ce modèle de la tête de fourche, ou plutôt du « bloc phare » qui vient se placer juste au dessus du garde-boue. Techniquement, on devrait observer un contact à la moindre oscillation de fourche, sans compter que l’optique est relié au garde-boue via une coulisse. Ainsi, dès que la fourche plonge, le bloc remonte le long des fourreaux. Ce qui permet dynamiquement de conserver un éclairage à niveau même lors de freinages limites ou lorsque la vidange de fourche se fait pressante.
Big-Bang:
C’est un peu ce que j’entrevois sur la conception de ce moteur. En un mot, un « percuteur » fantasque délivrant 21,3 m/kg de couple à 3300 trs/mn. Techniquement cela semble accessible, grâce à sa cylindrée généreuse, mais cela promet de malmener le pilote avec une nonchalance peu commune. Son roulement de tonnerre mécanique ne s’estompe qu’à 6800 trs avant que le rupteur ne vienne tel un couperet, clore la valse hystérique. Là dessus , on aurait pu compter sur un amortisseur de direction pour assurer un train assez volage, mais ce serait selon moi une petite marque d’aseptisation, où sur ce modèle, seule la sensation prime même au prix de quelques sueurs froides. Les pistons à longue course (110 mm) permettent de concevoir ce couple faramineux et pour pouvoir tenir le coup à hauts régimes, la Damocles se voit équipée de pistons forgés ainsi qu’un traitement antifrictions de type nickel, phosphore et silicone. La vitesse de piston tutoyant celle d’un R6 avec près de 25 m/sc. à 6800 trs, inutile de dire que l’on ne peut se passer d’une huile 100% synthèse.
Particularités:
Pour le coté innovation, j’ai trouvé l’amortisseur arrière latérale de la MT01 très ingénieux. Il vient en effet équilibrer l’esthétisme de la machine, répliquant à une ligne d’échappement très présente sur le flanc droit. Son accessibilité devient également évidente, ce qui réjouira le néophyte du réglage tout comme le maniaque de la propreté. C’est pourquoi j’ai scrupuleusement récupéré ce système pour la Damocles, le considérant comme le plus adapté.
La petite note innovatrice, vient sur ce modèle de la tête de fourche, ou plutôt du « bloc phare » qui vient se placer juste au dessus du garde-boue. Techniquement, on devrait observer un contact à la moindre oscillation de fourche, sans compter que l’optique est relié au garde-boue via une coulisse. Ainsi, dès que la fourche plonge, le bloc remonte le long des fourreaux. Ce qui permet dynamiquement de conserver un éclairage à niveau même lors de freinages limites ou lorsque la vidange de fourche se fait pressante.
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